Peinture Miniture - BOVET 1822

Peinture miniature

Dès l’introduction de ses premiers garde-temps de haute facture, BOVET s’est distingué par l’extrême finesse des détails ornant ses peintures miniatures.

Peinture miniature

Dès l’introduction de ses premiers garde-temps de haute facture, BOVET s’est distingué par l’extrême finesse des détails ornant ses peintures miniatures.

La proportion extrêmement importante de montres BOVET personnalisées par une peinture miniature démontre à quel point clients et collectionneurs associent BOVET à cet art. L’excellence affichée par BOVET dans le domaine des arts décoratifs horlogers a non seulement contribué à sauvegarder des savoir-faire autrement menacés de disparition, mais leur a également donné un nouvel élan tout en leur permettant de se rapprocher toujours plus de la perfection. L’excellence affichée par BOVET dans le domaine des arts décoratifs horlogers a non seulement contribué à sauvegarder des savoir-faire autrement menacés de disparition, mais leur a également donné un nouvel élan tout en leur permettant de se rapprocher toujours plus de la perfection.

Une forme d’art oubliée

Création

Nouvelles Techniques

Une forme d’art oubliée

ré algré une prolifique gamme de garde-temps présentant ce type de décoration, Edouard Bovet a su s’affirmer par la qualité des tableaux qu’il proposait. C’est sans doute ce qui a valu à BOVET un tel succès auprès de sa clientèle précoce qui comprenait notamment l’Empereur de Chine. L’un des garde-temps acquis par ce dernier au début du XIXe siècle trône encore aujourd’hui dans la Cité Interdite.

La représentation fidèle et réaliste de deux cygnes peints sur le fond du boîtier est à elle seule un facteur clé pour expliquer le succès d’Edouard Bovet dans un pays jusqu’alors fermé au commerce extérieur. L’ère industrielle du XXe siècle a malheureusement entraîné un déclin du recours aux arts décoratifs, au point que le savoir-faire des émailleurs et de la peinture miniature a failli disparaître à jamais.

Laque polie

Seuls quelques rares représentants se sont montrés capables de sauvegarder ces métiers qui avaient tant contribué à faire reconnaître à la Suisse une reconnaissance internationale pour la discipline infiniment méticuleuse de ses artisans. Bovet appartient à ce cercle très fermé.

La technique de peinture désormais utilisée par BOVET pour ses peintures miniatures est celle de la laque polie – une pratique issue de celles qui ont fait la renommée de BOVET dans son passé. Il a été développé par l’un des artisans travaillant exclusivement pour BOVET et permet de mettre en valeur les qualités de la laque de Chine.

Parmi les différentes techniques encore pratiquées aujourd’hui, c’est celle qui permet la meilleure définition possible des détails et qui est aussi la plus résistante aux chocs que l’émail. Comme les autres techniques, la laque polie nécessite un nombre important de cuissons successives selon la complexité du motif et le nombre de couleurs qui le composent. Néanmoins, ces cuissons ne dépassent pas les températures de 140°C, permettant ainsi d’appliquer la laque polie sur une large gamme de supports.

Nacre

La nacre sert de décor à la plupart des peintures miniatures BOVET . Après un traitement spécial, sa surface offre la toile de fond idéale pour une gamme de détails infiniment petits. Enrobée d’une laque translucide, la nacre révèle toute la richesse de ses reflets chatoyants.

Masqué par des couleurs opaques et selon la nature du graphisme, il compose un décor miniature en marqueterie. Chaque cadran est unique et laisse place à une inspiration sans limite nourrie par des thèmes aussi variés que des motifs floraux, animaliers, des paysages, des portraits ou des reproductions de tableaux.

Création

L e travail de l’artisan consiste à créer ou reporter le dessin à une échelle généralement cinq fois plus grande et à l’adapter à la forme ronde du cadran, en tenant compte de la position des aiguilles et des éventuelles ouvertures du cadran.

Après approbation de cette première procédure, le dessin est ensuite reporté à l’échelle correcte et un premier contour est tracé sur le cadran, suivi de plusieurs opérations différentes : peinture des fonds, des décors, avec des détails appliqués successivement couleur par couleur à l’aide une brosse en poil de martre extrêmement fine. Entre chaque opération, l’artisan ajoute une laque qui fixe chaque détail de chaque couleur. Chacune de ces applications de laque doit être cuite au four puis polie.

Nouvelles Techniques

Une fois la dernière couche de laque appliquée et cuite, la dernière opération consiste à réduire le cadran à son épaisseur définitive par des mouvements abrasifs plus doux et réguliers, avant le polissage final qui révélera toute la profondeur du travail. Dans leur quête avide de perfection, les artisans BOVET ont développé de nouvelles techniques associées à la laque polie. Certains cadrans présentent ainsi des détails travaillés à la feuille d’or, tandis que dans d’autres cas, ils peuvent être ornés de paillons (paillons) d’or ou d’argent qui sont associés à la laque pour créer un effet métallique.

La taille généreuse de ce département permet d’éviter les goulots d’étranglement souvent rencontrés à ce stade de développement des produits. Il permet également aux constructeurs de recouper leurs travaux respectifs, garantissant ainsi la qualité et la fluidité de la production.

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